• Voici la charte du blog que nous vous demandons de respecter dans une démarche citoyenne à travers le fleuve de notre merveilleux blog.

     

    I- Présentation

    Les blogs (ou "weblogs") sont des pages Web personnelles, créées, éditées et maintenues par Mathilde et Morgane deux étudiantes en master. Il permet de publier sur Internet, de créer simplement des liens vers d'autres sites très facilement et d'échanger avec tous les internautes inscrit sur eklabog, en leur permettant d'apporter des commentaires sur les blogs. Il est ouvert aux mineurs sous la surveillance d'un adulte.

     

    II-Conditions

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    - Etre âgé de 18 ans et plus ou avoir l'autorisation d'un parent pour les mineurs,
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    III-Règles de conduite

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    IV-Modération

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  • Ce qu'en dit la B.O de 2008:

     

    - Le collage : une œuvre de Kurt Schwitters (XXème siècle). 

    Les différents procédés des Arts visuels à l'école

    Kurt Schwitters: Prikken paa i en - 1939.

     

    Kurt Schwitters (1887 - 1948) est un peintre, collagiste et poète allemand, né à Hanovre en 1887.
     
    Ecarté du mouvement dada de Berlin, il fonde le mouvement Merz, d'après son tableau Merzbild I (1919). A partir de 1920, il se lie avec Theo van Doesburg et El Lissitzky, qui collaborent activement à la revue jusqu'en 1924.
     
    Kurt Schwitters, a fait naître la tendance du collage et du photomontage qui sera reprise par beaucoup des ses pairs (notamment Robert Rauschenberg) et ses contemporains. Il pousse le processus du collage dans une recherche plastique totale qui aboutira à son célèbre Merzbau. Il construit certains de ses collages parfois uniquement avec les papiers qu’il ramasse dans les rues.

     

     

    - Le montage et le photomontage : une œuvre de Max Ernst (XXème siècle). 

    Les différents procédés des Arts visuels à l'école

    Max Ernst, "L’Ange du foyer (Le triomphe du surréalisme)", 1937. Huile sur toile, 114 × 146 cm. Collection privée. (2013, PROLITTERIS, ZURICH)

     

    Max Ernst est le fils du peintre Philipp Ernst et de Louise Kopp.

    En 1910, il commence à étudier la philosophie à l'université de Bonn mais il abandonne rapidement les cours pour se consacrer à l'art. Il rencontre les membres du groupe Blaue Reiter en 1911 avec qui il expose à Berlin, en 1913. La même année, il fait la connaissance deGuillaume Apollinaire et Robert Delaunay, part pour Paris et s'installe dans le quartier du Montparnasse.

    En 1918, il épouse Louise Straus, historienne d'art. Leur relation tumultueuse ne tiendra pas. L'année suivante, il rend visite à Paul Klee et crée ses premières peintures, impressions à la main et collages; il expérimente différents supports et matériaux.

    cf.http://fr.wikipedia.org/wiki/Max_Ernst

     

     

    - L'égouttage « dripping » : une œuvre de Jackson Pollock (XXème siècle).

    Les différents procédés des Arts visuels à l'école

     White Light, 1954

     

    Jackson Pollock, né le 28 janvier 1912 à Cody, dans le Wyoming, et mort accidentellement le 12 août 1956, à The Springs (New York), est un peintre américain de l'expressionnisme abstrait, mondialement connu de son vivant.

    Jackson Pollock a réalisé plus de 700 œuvres, peintures achevées, essais peints ou sculptés et dessins ainsi que quelques gravures. Pollock a eu une influence déterminante sur le cours de l'art contemporain. La pratique du all-over ainsi que le « dripping », qu'il a beaucoup employé de 1947 à 1950, l'ont rendu célèbre grâce aux photos et aux films de Hans Namuth, réalisés plus ou moins dans le feu de l'action. Cette reconnaissance, tardive après toute une vie dans la gêne, a coïncidé avec l'émergence de New York comme nouvelle capitale mondiale de la culture, peu après la Seconde Guerre mondiale entre 1948 et 1950. Pollock fut le premier de la troisième vague d'artistes abstraits américains à être enfin reconnu, le premier à « briser la glace » (selon l'expression de Willem de Kooning), en ouvrant un passage dans le milieu des collectionneurs aux autres artistes de l'école de New York.

    En 1945, Pollock épousa l'artiste peintre Lee Krasner qui a eu une influence décisive sur sa carrière et sur la valorisation de son œuvre.

    cf.http://fr.wikipedia.org/wiki/Jackson_Pollock

     

    Mathilde.


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  • Biographie

    Jean Philippe Arthur Vincent Dubuffet, né au Havre le 31 juillet 1901 et mort à Paris le 12 mai 1985, est un peintre, sculpteur et plasticien français.

    Il est le premier théoricien d'un style d'art auquel il a donné le nom d'« art brut », des productions de marginaux ou de malades mentaux : peintures sculptures, calligraphies, dont il reconnaît s'être lui-même largement inspiré.

    Le 20 octobre 1945, la première « exposition marquante » dans Paris libéré est celle de ses œuvres à la galerie René Drouin alors qu'il n'est encore qu'un peintre inconnu, provoquant un véritable scandale. Il est aussi l’auteur de vigoureuses critiques de la culture dominante, notamment dans son essai Asphyxiante Culture qui crée une polémique dans le monde de l'art. À l'occasion de la première exposition de sa collection d'art brut qu'il organise en 1949, il rédige un traité L'Art brut préféré aux arts culturels.

    Officiellement propulsé sur le devant de la scène artistique par une rétrospective de quatre cents peintures, gouaches, dessins, sculptures qui a lieu au Musée des arts décoratifs de Paris du 16 décembre 1960 au 25 février 1961, l'artiste français le plus contesté et le plus admiré de l'après-guerre crée l'événement de ce début d'année. Il devient l'inspirateur de nombreux artistes, adeptes de « l'art autre », variante de l'art brut, parmi lesquels Antoni Tàpies ainsi que des adeptes de la contestation artistique comme le groupe espagnol Equipo Crónica.

    Son œuvre est composée de peintures, d'assemblages souvent qualifiés à tort de collages, de sculptures et de monuments dont les plus spectaculaires font partie d'un ensemble, L'Hourloupe (1962-1974) ainsi que des architectures : la Closerie Falbala et la Villa Falbala . Il a fait l'objet de rétrospectives au Palais Grassi de Venise, au Musée Solomon R. Guggenheim.

    Sa collection personnelle, la Collection de l'art brut qui regroupait depuis 1945 des artistes découverts dans les prisons, les asiles, des marginaux de toutes sortes, alors propriété de la Compagnie de l'art brut fondée en 1948, aurait dû rester à Paris. Mais les atermoiements de l'administration française ont poussé Dubuffet à accepter l'offre de la ville de Lausanne en Suisse, où la collection a été installée au château de Beaulieu et définitivement donnée.

    Considéré comme peu amène, procédurier, atrabilaire, il se fâchait souvent avec son entourage. Avant la mort de Dubuffet le 12 mai 1985,Jean-Louis Prat avait eu toutes les peines du monde à organiser la rétrospective de cent cinquante tableaux de l'artiste, qui se tiendra finalement du 6 juillet au 6 octobre à la Fondation Maeght.

    En revanche, il était généreux, comme en témoignent ses amis Alexandre Vialatte, Alphonse Chave Philippe Dereux, et les nombreuses donations qu'il a faites de son vivant, entre autres, un ensemble de vingt et un tableaux, sept sculptures et cent trente deux dessins au Musée des arts décoratifs de Paris provenant de sa collection personnelle.

    cf.http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Dubuffet

     

    Utilisation et exemples en maternelle

     

    Dubuffet en fête à la maternelle

     

    Dubuffet en fête à la maternelle


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  • Casse-noisette est un ballet-féerie de Piotr Ilitch Tchaïkovski, en deux actes, soit trois tableaux et 15 scènes, présenté pour la première fois le 18 décembre 1892 .  La musique, confiée à Tchaïkovski et composée de février 1891 à mars 1892.

    Casse-noisette est devenu, depuis sa création en décembre 1892, un véritable symbole musical. Le soir de Noël, Clara reçoit de son oncle un casse-noisette. Pendant la nuit, une merveilleuse féerie commence : dans le salon, les jouets s'animent et le Casse-noisette se transforme en prince…

    Instrumentation du Casse-noisette
    Bois
    3 flûtes (la 3e prend le piccolo), 2 hautbois, 1 cor anglais,

    2 clarinettes (en si bémol et la), 1 clarinette basse (en si bémol), 2 bassons

    Cuivres
    4 cors (en fa), 2 trompettes (en la et si bémol), 3 trombones (2 ténors et 1 basse), 1 tuba
    Percussions
    timbales, grosse caisse, cymbales, tam-tam, tambourin,

    castagnettes, triangle, glockenspiel, célesta (ou piano)

    Chœur
    chœur de 24 voix d'enfants ou de femmes (avec de préférence 12 sopranos et 12 altos)
    Jouets
    hochet, trompettes (en ut), tambours, coucou (en ut), caille (en ut), cymbales
    Cordes
    2 harpes, premiers violons, seconds violons, altos, violoncelles, contrebasses

     

    Que faire en classe ?

    Nous pouvons leur faire faire une première écoute sans que les élèves sachent l'histoire pour ensuite leur demander d'exprimer ce qu'ils ressentent. Bien sûr il s'agira d'extraits du ballet. Nous pouvons ensuite demander aux enfants de se lever et d'improviser une marche ou une gestuelle selon leur perception et impression sur le rythme de la musique. Bien vite , les élèves auront la notion de voyage. Nous pouvons ensuite leur raconter l'histoire de Casse Noisette. Comme il s'agit d'une histoire d'enfant , ils se sentiront impliqués et seront intéressés malgré la méconnaissance possible du monde des ballets et de la musique classique en général.

    Le site de l'académie de Versailles propose une riche collection d'activités de classe à partir de ce ballet . http://www.pedagogie95.ac-versailles.fr/la-culture-humaniste/education-musicale/110-casse-noisette-ballet-de-piotr-tchaikovski

    L'activité d'écoute analytique est intéressante car elle permet de mettre en jeu ressenti et compétences discriminante.

    Enfin nous pouvons parfaitement lier cette séance avec une activité de danse ou même un court visionnage du ballet , les décors et les costumes participant de la féérie du ballet.

     

     

     

                           Morgane

     

     

     


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  • La chanson française est un patrimoine incontournable par lequel les élèves se forgent une culture commune.  Cependant il me parait important de faire de ce moment , un moment fédérateur et joyeux qui permette aux enfants de manipuler le grand répertoire . C'est pourquoi le choix de la chanson Les copains d'abord m'a paru évident . 

    Voici les paroles avec une version chantée par les enfants prises sur le blog 
    http://musicouleur.free.fr/copainsmus.htm :
    Non, ce n'était pas le radeau
    De la Méduse, ce bateau,
    Qu'on se le dis' au fond des ports,
    Dis' au fond des ports,
    Il naviguait en pèr' peinard
    Sur la grand-mare des canards,
    Et s'app'lait les Copains d'abord
    Les Copains d'abord.

    Ses fluctuat nec mergitur
    C'était pas d'la litteratur',
    N'en déplaise aux jeteurs de sort,
    Aux jeteurs de sort,
    Son capitaine et ses mat'lots
    N'étaient pas des enfants d'salauds,
    Mais des amis franco de port,
    Des copains d'abord.

    C'étaient pas des amis de lux',
    Des petits Castor et Pollux,
    Des gens de Sodome et Gomorrh',
    Sodome et Gomorrh',
    C'étaient pas des amis choisis
    Par Montaigne et La Boeti',
    Sur le ventre ils se tapaient fort,
    Les copains d'abord.

    C'étaient pas des anges non plus,
    L'Evangile, ils l'avaient pas lu,
    Mais ils s'aimaient tout's voil's dehors,
    Tout's voil's dehors,
    Jean, Pierre, Paul et compagnie,
    C'était leur seule litanie
    Leur Credo, leur Confitéor,
    Aux copains d'abord.

    Au moindre coup de Trafalgar,
    C'est l'amitié qui prenait l'quart,
    C'est elle qui leur montrait le nord,
    Leur montrait le nord.
    Et quand ils étaient en détresse,
    Qu'leur bras lancaient des S.O.S.,
    On aurait dit les sémaphores,
    Les copains d'abord.

    Au rendez-vous des bons copains,
    Y'avait pas souvent de lapins,
    Quand l'un d'entre eux manquait a bord,
    C'est qu'il était mort.
    Oui, mais jamais, au grand jamais,
    Son trou dans l'eau n'se refermait,
    Cent ans après, coquin de sort !
    Il manquait encor.

    Des bateaux j'en ai pris beaucoup,
    Mais le seul qui'ait tenu le coup,
    Qui n'ai jamais viré de bord,
    Mais viré de bord,
    Naviguait en père peinard
    Sur la grand-mare des canards,
    Et s'app'lait les Copains d'abord
    Les Copains d'abord.

    Pour cette séance il faut effectuer une première écoute , puis par mimétisme en découpant la chanson par strophe , accompagné d'une guitare , les élèves vont apprendre par coeur les paroles. Cependant comme la chanson est longue , il est nécessaire de la partager entre plusieurs groupes. Les groupes se succèdent mais se rejoignent pour le refrain ,  ils se répondent en miroir , nous pouvons les disposer en cercle pour qu'ils s'observent chanter afin de faire naître une réelle complicité. Les élèves doivent chanter pour les autres et avec les autres , il est important qu'ils apprennent à prendre du plaisir tout en respectant l'autre , qu'ils se soucient les uns des autres. 

    Cette séance semble l'occasion de travailler le vivre ensemble qui est un des piliers du socle commun. 

    Alors tous en choeur ! 

     

    Morgane.

     


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